Le face à face Père-fille / Montand-Adjani est mémorable. Deux légendes pour le meilleur du rire avec toujours ses furtifs moments d'attendrissement et de bienveillance comme autant de respirations typiques du cinéaste (qui manqueront un peu dans Bon voyage, comédie réussie mais un cran en-dessous). Je pense à cette scène finale de poursuite où, alors que le film parait s’essouffler et devenir farfelu, Montand se retrouve à apprendre à sa fille Adjani à faire du vélo parce que "personne ne lui a jamais appris".
lundi 27 octobre 2014
Tout feu, tout flamme (1982)
Tout feu tout flamme est un
petit bijou, une merveille de fantaisie et de tendresse dans lequel le
style frénétique de Rappeneau fait mouche comme dans ses films
antérieurs (La Vie de château, Les Mariés de l'an II et Le Sauvage bien sûr tant les films semblent cousins par la prestation truculente Hé hé hé d'Yves Montand).
Le face à face Père-fille / Montand-Adjani est mémorable. Deux légendes pour le meilleur du rire avec toujours ses furtifs moments d'attendrissement et de bienveillance comme autant de respirations typiques du cinéaste (qui manqueront un peu dans Bon voyage, comédie réussie mais un cran en-dessous). Je pense à cette scène finale de poursuite où, alors que le film parait s’essouffler et devenir farfelu, Montand se retrouve à apprendre à sa fille Adjani à faire du vélo parce que "personne ne lui a jamais appris".
Le face à face Père-fille / Montand-Adjani est mémorable. Deux légendes pour le meilleur du rire avec toujours ses furtifs moments d'attendrissement et de bienveillance comme autant de respirations typiques du cinéaste (qui manqueront un peu dans Bon voyage, comédie réussie mais un cran en-dessous). Je pense à cette scène finale de poursuite où, alors que le film parait s’essouffler et devenir farfelu, Montand se retrouve à apprendre à sa fille Adjani à faire du vélo parce que "personne ne lui a jamais appris".
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