
J'ai trouvé l’interprétation de Burt Lancaster très touchante, celle d'un homme bousculé dans ces habitudes, rappelé tout d'un coup dans le monde contemporain par l'irruption de "cette famille" de nouveaux riches (et en particulier cette femme sans savoir-vivre qui installe son amant dans l'appartement du-dessus).
La peinture substitue à son regard un monde qui s’accorde à ses désirs aurait pu écrire Visconti en guise de préambule..
Il y a beaucoup du Guépard dans ce film, un guépard qui aurait survécu et vivrait encore "de nos jours", enfermé dans son appartement, effrayé par le monde moderne, endormi jusqu'à ce qu'une explosion retentisse..
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